Les médias sociaux sont là pour de bon
Print this Article | Send to Colleague
Les médias sociaux sont là pour de bon
Il n’y a pas si longtemps, peu d’entreprises étaient présentes sur les médias sociaux. On se disait : « Pourquoi donner l’occasion aux contestataires de s’exprimer? ». Ce que les entreprises ne comprenaient pas, c’est que les contestataires utilisaient déjà efficacement les médias sociaux afin de se faire entendre. En choisissant de ne pas utiliser cette nouvelle façon de dialoguer, cela fragilisait les entreprises.
Aujourd’hui, la majorité des entreprises est consciente que les médias sociaux sont essentiels pour joindre leur public cible, et lorsqu’ils sont utilisés correctement, ceux-ci peuvent promouvoir la valorisation de la marque grâce à la communication. Plus vous attendez, plus les pertes seront grandes. Toutefois, la création d’un profil sur les médias sociaux n’est pas suffisante : on doit envisager la création et la gestion d’une stratégie de médias sociaux. Sans cela, les médias sociaux peuvent causer plus de tort que de bien.
« Je m’occupe de cela depuis un certain temps, et le pouvoir du profil de nos médias sociaux ne cesse de m’étonner, mentionne Craig Taffs, chef d’équipe et directeur des médias sociaux de la société Alberta One-Call ainsi que du portail Cliquezavantdecreuser du Manitoba. Mais cela ne s’est pas fait en criant ciseau. Il ne suffit pas de créer un profil sans s’en occuper, en pensant que cela va se développer tout seul. L’utilisation d’une stratégie pour planifier, développer et mettre en place un profil est primordiale, et son contenu doit être revu, amélioré et promu toutes les semaines, et ça, c’est la partie facile. »
Craig a raison, c’est vraiment la partie facile. L’avantage principal d’un programme marketing sur les réseaux sociaux réside dans sa capacité à transmettre et à soutenir efficacement les valeurs et les objectifs du propriétaire. « Ne faites pas l’erreur d’entrer dans la guerre des mots, mentionne Craig. Les gens qui communiquent avec nous sur Twitter ou Facebook utilisent un moyen de communication qui leur est familier et il importe de leur répondre par ce moyen. Une fois la communication établie, c’est à nous de les aider à gérer leur sécurité. »
« Cela semble être un défi de taille, précise Sher Kirk, directrice des opérations de Alberta One-Call, mais il suffit de décomposer le travail en étapes simples pour mieux le gérer. Chez nous, toutes les correspondances générées sur nos médias sociaux sont dirigées vers Zendesk, notre système de gestion et de soutien des relations avec la clientèle. Peu importe la plateforme ou le profil de réseaux sociaux utilisés par les gens, et gérés par AOC, un billet sera automatiquement généré par Zendesk et envoyé au personnel de soutien afin qu’il soit acheminé aux experts spécialisés pour qu’ils puissent y répondre. »
Comptant 2 465 abonnés à son compte Twitter, l’Alberta One-Call possède 4 abonnés de moins que tous les centres d’appels uniques du Canada réunis et 727 abonnés de plus que le Common Ground Alliance américain sur une population de plus de 328 millions.