novembre 27, 2017
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Dans ce numéro |
Nouvelles de l'ACEPU
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Projets fédéraux
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Nouvelles provinciales
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Nouvelles des membres
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Revue de presse
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Si vous n’étiez pas à Saint-Jean de Terre-Neuve la semaine dernière pour la Conférence nationale sur l’eau potable et les eaux usées, vous en avez réellement manqué une bonne... j’ai même entendu mentionner le mot « légendaire » à quelques reprises. Bien sûr, nous avions des conférenciers et conférencières de haut niveau à des tables rondes de grande qualité. Le Delta St. John’s et St. John’s Convention Centre ont offert les meilleures conditions. Mais c’est certainement l’esprit de Terre-Neuve qui a rendu cet événement aussi mémorable. Nous avons aussi dégusté de bons plats, écouté de l’excellente musique et nous sommes bien amusés !
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Nous concluons une année remarquable par de grands événements ici à l’ACEPU. Un rapport complet de la Conférence nationale sur l’eau potable et les eaux usées sera publié dans le prochain bulletin mensuel. D’ici là, nous savons à quel rythme l’emploi du temps de chacun se remplit, nous voulons donc nous assurer que vous inscrirez les événements 2018 de l’ACEPU à votre agenda.
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Les comités de l’ACEPU constituent la plus importante ressource de l’Association et de ses membres. Ils aident à conseiller le personnel sur des questions techniques, apportent une précieuse contribution sur la législation et les projets fédéraux et aident même à diriger le programme pour notre Conférence nationale et la Fenêtre sur Ottawa.
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Le comité de l’ACEPU sur la qualité de l’eau potable examine les deux propositions et présentera ses commentaires dans le cas où elles soulèveraient des préoccupations. Les commentaires doivent être acheminés d’ici le 29 décembre.
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À la suite d’une évaluation préalable menée sur l’hydrate de chloral, les ministres ont conclu que la substance ne satisfait pas aux critères de toxicité énoncés à l’alinéa 64 et qu’aucune autre mesure n’est nécessaire en ce moment. L’hydrate de chloral se retrouve principalement dans l’eau potable chlorée comme sous-produit de désinfection. C’est également un ingrédient actif dans des médicaments sous ordonnance servant de sédatifs et d’hypnotiques. D’après l’évaluation finale, « compte tenu de tous les éléments de preuve contenus dans la présente évaluation, l’hydrate de chloral présente un faible risque d’effets nocifs sur les organismes et l’intégrité globale de l’environnement. »
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Le 3 novembre 2017, le gouvernement fédéral a annoncé qu’il investira 13,5 millions de dollars, par l’entremise de Technologies du développement durable Canada (TDDC), pour encourager les entreprises de technologies propres.
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Le 12 octobre 2017, le gouvernement a annoncé des investissements de 400 000 $ cette année pour un examen technique des contaminants dans les eaux usées qui sera mené par le Réseau canadien sur l’eau. Un groupe d’experts, présidé par M. Don Mavinic de l’Université de la Colombie-Britannique, entreprendra l’examen, qui devrait être terminé d’ici le 31 mars 2018. Le groupe remettra un rapport sur les possibilités d’épuration des eaux usées en avril 2018.
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ICI Radio Canada Le projet, qui coûtera quatre millions de dollars à la ville, a été devancé de quatre ans et a été déplacé tout près du camping Oceanic. Ces changements préoccupent les résidents, qui se demandent si la tour d'eau est construite pour les terrains de camping de plus en plus nombreux. La construction de la tour d’eau a commencé en octobre, sur la rue Ohio à Shédiac, juste en face du terrain de camping Oceanic. Pourtant, le projet ne faisait pas partie du budget de la ville pour l’année 2017. Il était plutôt prévu pour 2021.
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Le Soleil GASPÉ – Pétrolia a omis d’analyser l’eau souterraine en 2015 autour du puits Haldimand no 4, à Gaspé, ce qui lui a valu un avis de non-conformité du ministère de l’Environnement. La firme juge qu’elle n’est pas obligée de le faire et qualifie la situation «d’imbroglio». Pétrolia a tout de même mené ces tests par la suite, en 2016 et en 2017, mais refuse que les résultats soient publiés.
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Le Devoir Il y a deux ans déjà, un millier de maires du monde entier se réunissaient dans la capitale française, en marge de la Conférence de l’ONU sur le climat COP21. Les participants à ce Sommet des élus locaux pour le climat visaient à faire pression sur leurs gouvernements et à se poser en partenaires critiques dans la mise en oeuvre de l’Accord de Paris sur le climat, fixant des objectifs chiffrés assez ambitieux quant à la baisse des émissions de gaz à effet de serre, les fameux GES. Parmi eux, une délégation de maires affiliés à l’Union des municipalités du Québec (UMQ), dont Suzanne Roy, mairesse de Sainte-Julie.
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Le journal de Montréal Une invention autrichienne testée au Québec permet de connaître la qualité de l’eau des plages en temps réel plutôt que deux ou trois jours plus tard comme c’est le cas actuellement.
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