Quand j’ai commencé à rédiger cette chronique, j’ai pris une pause pour regarder le pape François et écouter son homélie à Maskwacis, en Alberta. Ces excuses publiques étaient un pas important et déterminant vers un long processus de réconciliation. Au-delà des excuses, il s’est tourné vers une enquête, la guérison et le rétablissement complets. La bénédiction des eaux était à son programme. J’ai dit à maintes reprises que les problèmes des Premières Nations ne relèvent peut-être pas du mandat officiel de l’ACEPU, mais que d’appuyer la réconciliation et le rétablissement concerne chaque Canadien et Canadienne.

L’ACEPU a écrit à Environnement et Changement climatique Canada en réponse au Document de travail « Se préparer aux Changements climatiques : Stratégie nationale d’adaptation du Canada ». La première rétroaction de l’Association est la suivante :

• Besoin de surveillance et de collecte de données nationales (centralisées) des municipalités     
• Besoin de modèles de financement équitables des municipalités

Ces points sont développés dans la lettre.

Il existe un intérêt croissant et des préoccupations au sein de l’industrie de l’eau potable en Amérique du Nord concernant un groupe de composés appelés perfluoroalkyliques et polyfluoroalkyliques ou SPFA. Cette fiche d’information, rédigée par le comité sur la qualité de l’eau potable de l’ACEPU, est destinée à fournir des informations générales de haut niveau aux membres de l’ACEPU tout en faisant référence à des sources d’information plus détaillées qui aideront les membres et leurs installations associées à préparer leurs propres réponses aux questions relatives aux composés SPFA que pourraient poser leurs clients, autorités municipales, dirigeants politiques, médias et autres intervenants concernés.

Les Recommandations au sujet de la qualité des eaux utilisées à des fins récréatives sont composées de nombreux paramètres techniques indicatifs utilisés pour la surveillance des risques liés à la qualité de l’eau et préconisent des stratégies de surveillance et de gestion des risques reposant sur des données scientifiques. On entend par eaux utilisées à des fins récréatives tout plan d’eau douce, marine ou d’estuaire utilisées à ces fins et comprenant les lacs, rivières et ouvrages (p. ex. les carrières, les lacs artificiels) remplis d’eaux naturelles non traitées.

Pour une liste complète des documents techniques et recommandations, veuillez consulter le document sommaire des Recommandations au sujet de la qualité des eaux utilisées à des fins récréatives au Canada disponible sur le site Web de Santé Canada.

Le document décrit les caractéristiques physiques, esthétiques et chimiques de l’eau et des plages environnantes qui peuvent restreindre les activités récréatives. Pour consulter l’Avis de la Gazette, cliquez sur le lien suivant 

Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador a annoncé un financement de plus de 27 millions de dollars pour trois projets de protection de la santé publique et de l’environnement dans des collectivités de l’est de la province. Les projets comprennent une nouvelle infrastructure des eaux usées pour l’amélioration des services municipaux dans le secteur de Goulds à St Johns et des fossés et des mesures de contrôle de l’érosion le long du prolongement du chemin Motion Bay. 

L’AWWA, et neuf autres associations, ont exhorté l’EPA et le bureau de la gestion et du budget (OMB) à s’assurer de préparer une analyse économique solide et de consulter les gouvernements locaux en élaborant sa proposition de désignation de matière dangereuse concernant certaines substances Per et Polyfluoroalkyliques de la Comprehensive Environmental Response, Compensation, and Liability Act (CERCLA). La proposition de classer l’acide perfluorooctanoïque (APFO) et le sulfonate de perfluorooctane (SPFO) comme matières dangereuses est un élément de la feuille de route stratégique des SPFA (PFAS Strategic Roadmap). L’OMB a tardé à donner forme à la proposition en ce qui va de l’année 2022, bien que l’EPA ait visé le mois dernier pour sa publication.