Avertissement : Un appel à l’action est lancé à la fin de cette chronique.

Premièrement, vous devriez cesser la lecture de cet éditorial et faire vos bagages pour vous rendre à la Conférence sur l’eau potable et les eaux usées à Winnipeg… ou être en chemin pour l’aéroport… ou à l’aéroport. Si ce n’est pas le cas, je vous promets que vous le regretterez plus tard quand vous saurez à quel point c’était formidable.

Le ministre canadien de la Santé a annoncé son intention de mettre à jour les recommandations pour la qualité de l’eau potable sur les radionucléides, de 0,1 millisievert par année (mSv/a) à 1 mSv/a. Il actualiserait également les valeurs de concentration maximale acceptable (CMA), en retirant la CMA pour l’uranium et en fixant la CMA « pour les radionucléides les plus importants, notamment le radium-228 (Ra-228), et les nouvelles valeurs fondées sur la santé (VFS) pour les autres radionucléides d’intérêt, y compris le polonium-210 (Po-210) et le radon-222 (Rn-222). » Le comité sur la qualité de l’eau potable de l’ACEPU examinera les recommandations proposées et soumettra ses commentaires, le cas échéant.

Ces modifications actualiseront les Recommandations pour la qualité de l’eau potable au Canada — Tableaux sommaires.

Pour plus de renseignements, veuillez cliquer ici.

Les parties intéressées peuvent soumettre leurs commentaires jusqu’au 10 janvier 2025.

Le gouvernement canadien met à jour la Loi canadienne sur la protection de l’environnement (1999) (LCPE), en reconnaissant le droit à un environnement sain et en améliorant la gestion des produits chimiques et sa transparence. La LCPE exige maintenant de tenir compte des effets cumulatifs des substances durant l’évaluation des risques, en ciblant les populations vulnérables. Un plan des priorités sera publié et comprendra plus de 30 substances pour l’évaluation de la protection de la santé et de l’environnement, y compris les SPFA, et un engagement à poursuivre les études sur les polymères fluorés.

L’Alberta accorde un financement de près de 3 millions sur une étude de 6,1 millions de dollars réalisée par Varme Energy pour la première installation canadienne de valorisation énergétique des déchets comprenant la capture du carbone, dont le démarrage est prévu en 2027. L’usine transformera les déchets de sites d’enfouissement en électricité, en captant par séquestration 185 000 tonnes de CO2 annuellement. Le projet, appuyé par Emissions Reduction Alberta, Gibson Energy, la Ville d’Edmonton et le Fonds canadien, détournera 200 000 tonnes de déchets des sites d’enfouissement par année, pour obtenir une empreinte carbone négative. L’étude de conception de l’installation, qui sera située sur la propriété de Gibson Energy près d’Edmonton, sera terminée d’ici décembre 2024 et la construction débutera en 2025.

Bien que ce projet repose sur des déchets de sites d’enfouissement, la recherche sur la capture de gaz et la conversion en énergie constituent d’importantes études de cas qui aideront à faire progresser les projets utilisant les eaux usées.

Ce document concerne les Premières Nations, municipalités, entreprises, établissements universitaires et organisations représentant les diverses communautés culturelles et les organismes sans but lucratif de l’Île-du-Prince-Édouard.

Il définit les grandes lignes du Fonds de changement climatique, en appui aux solutions novatrices en matière de changement climatique. Les principales exigences comprennent les critères d’admissibilité des projets, les contributions financières et les processus d’évaluation des candidats à la recherche de soutien financier pour des projets d’action climatique.

Ce résumé a été créé par intelligence artificielle le 3 octobre 2024.

Des autorités du Yukon enquêtent sur l’écoulement de l’eau souterraine au site de la mine Eagle Gold après la libération de minerai contaminé au cyanure due à un glissement de terrain. Des concentrations élevées ont été détectées dans dix-huit nouveaux puits, comme anticipées. Les mesures prises visent notamment à comprendre comment se déplace l’eau souterraine et planifier un traitement de l’eau. Le propriétaire de la mine, Victoria Gold, fait l’objet d’une mise sous séquestre et un examen indépendant du glissement de terrain est en cours. De récents tests au ruisseau Haggart indiquent un taux de cyanure inférieur à la valeur recommandée pour la vie aquatique et des barrières ont été installées pour en bloquer l’accès aux poissons. Il n’y a pas eu d’autres mortalités de poissons signalées. Un mur de sécurité a été érigé et la capacité de stockage de l’eau a été augmentée avec de nouveaux bassins. Des mises à jour se poursuivront au fur et à mesure des résultats des tests disponibles.