Les limites de temps de vol pour cet été peuvent être plus élevées que le pensiez
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Vous vous souviendrez peut-être que dans un numéro récent de ce bulletin, nous avons indiqué que Transports Canada avait récemment imposé une nouvelle définition des « temps de vol » et des « temps dans les airs » pour les hélicoptères. Apparemment, les temps de vol et les temps dans les airs sont maintenant la même chose. Cette annonce a été mal accueillie par les écoles de pilotage. Sachant que Transports Canada a entrepris de réviser cette nouvelle interprétation, nous vous suggérons de communiquer avec votre IPE (inspecteur principal de l’exploitation de Transports Canada) avant de faire tout changement à vos opérations. Certains membres exploitants ont indiqué qu’ils doivent maintenant utiliser les temps dans les airs pour calculer les limites de temps de vol, ce qui pourrait se traduire par un accroissement de 10 % à 20 % par rapport au calcul plus traditionnel qui utilise le temps entre le démarrage et l’arrêt du moteur pour établir les temps de vol. Comme il y a eu pas mal de confusion au sujet de la nouvelle interprétation, nous vous suggérons de demander des instructions écrites à votre bureau régional de Transports Canada avant de procéder.